Publications signalant les prises de position du Groupe des Belles Feuilles ou de ses membres
Une analyse de Dimitri Nouveau pour le Japan Spotlight, en association avec le Groupe des Belles Feuilles
Christophe Clarenc, secrétaire général du Groupe des Belles Feuilles, a publié un article sur l'arrêt de la Cours de Justice Européenne sur la législation Safe Harbour. Cet article apporte un éclairage supplémentaire aux travaux de Dimitri Nouveau et du Groupe des Belles Feuilles sur la vie privée des internautes européens.
Entre la loi du gouvernement Valls sur le renseignement, le « trilogue » au sein duquel le Parlement, la Commission et le Conseil débattent du projet deréglementation européenne, la domination et les pratiques contestées des géants de la SiliconValley, les remous ...
Le marché de la création, qui regroupe les secteurs du film, de la musique, des jeux vidéos, du livre, de la presse mais également des arts visuels ou du spectacle vivant,emploierait selon ses représentants plus de 7 millions d’Européensdans les 28 Etats-membres[1]. Le droit d’auteur est l’un des fondements de ce marché, puisqu’il permet de déterminer les conditions d’exploitations des œuvres.
Ce texte est un résumé du papier "la jeunesse de l'euro", contribution franco-allemande du Groupe des Belles Feuilles.
La version longue est disponible dans la rubrique positions de notre site.
- la mise en place d'une gouvernance intégrée, efficace et démocratique de la zone euro est indispensable à la survie et au développement international de la monnaie unique, ainsi qu'à la poursuite de l'objectif d'une Union sans cesse plus étroite entre les peuples européens.
Le projet d’une Europe unie fait aujourd’hui face à l’une de ses crises politiques et économiques les plus graves depuis son lancement il y a soixante ans. Ses difficultés résident dans un régime de gouvernance économique incomplet, trop lâche pour garantir que les États contiennent et résorbent leurs déficits et leurs dettes publics. Le fait est connu depuis l’adoption du traité
- L’aggravation de la crise nécessite des réponses globales et européennes, adaptées à son caractère mondial. Depuis la réunion des chefs d’Etats et de Gouvernements du G20 à Washington, il apparait possible de voir émerger non seulement des solutions concrètes mais aussi des nouvelles formes de gouvernance adaptées aux enjeux globaux. L’Union européenne peut apporter une impulsion décisive pour que la prochaine étape de Londres, le 2 avril, permette de réels progrès.